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Revue Lili, la rozell et le marimba, numéros 1, 2 et 3

identité visuelle © Jocelyn Cottencin, Studio Lieux Communs

photo : Marion Sarrazin

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identité visuelle © Jocelyn Cottencin, Studio Lieux Communs

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identité visuelle © Jocelyn Cottencin, Studio Lieux Communs

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identité visuelle © Jocelyn Cottencin, Studio Lieux Communs

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identité visuelle © Jocelyn Cottencin, Studio Lieux Communs

Revue

Lili, la rozell et le marimba

Lotte Arndt, Jean-Roch Bouiller, Baptiste Brun, John Cornu, Katia Kameli, Sophie Kaplan, Émilie Renard


Interrogeant les relations entre productions, savoirs locaux et création contemporaine, le cycle thématique Lili, la rozell et le marimba (création contemporaine et vernaculaire) s’accompagne d’une revue. Celle-ci a pour ambition de prolonger et d’élargir les questionnements soulevés par les artistes invité·e·s dans le cadre des expositions et des résidences qui jalonnent le cycle.

Pour élaborer ses contenus, un comité éditorial composé de Lotte Arndt, Jean‑Roch Bouiller, Baptiste Brun, John Cornu, Katia Kameli, Sophie Kaplan et Émilie Renard se réunit régulièrement tout au long du cycle. Qu’ils soient artistes, chercheur·se·s ou commissaires, les membres de ce comité partagent un même dessein d’attention à l’autre et à l’autrement, en même temps qu’ils se distinguent par des champs de recherche et des points de vue parfois éloignés.

Elle paraît deux fois par an et rassemble des contributions d’artistes, de penseur·se·s et de chercheur·se·s d’horizons et disciplines variés : historien·ne·s de l’art, philosophes, écrivain·e·s, éthnologues, etc.

  • Via des études de cas, des textes théoriques, des interventions artistiques, elle permet de poser les questions suivantes :
    – sous quelles formes la richesse des apports et influences entre arts dits contemporains et arts dits traditionnels (de faire, artisanaux, folkloriques, populaires, bruts, naïfs, etc.), entre modernité et tradition, entre local et global, se décline-t-elle dans la création contemporaine ?
  • – de quelles (nouvelles ?) manières les artistes travaillent-ils à partir de contextes dit locaux ?
  • – comment les artistes participent-ils à repenser les liens entre savoir du peuple et savoir savant, entre local et global, entre l’autochtone et l’étranger ?
  • – comment les récits personnels sont-ils les véhicules de l’Histoire ? Est-on légitime à parler d’une histoire qui n’est pas la sienne ? D’où parle-t-on ? Comment parle-t-on ?

Éditée par un centre d’art, lieu dédié à la fois à la production et la recherche, elle offre par ailleurs l’occasion d’interroger les points de rencontre entre les modalités de recherche des scientifiques et des artistes, ainsi que leurs différents régimes de rendu.